Circulation
pulmonaire
Circulation pulmonaire a pour seul role de
faire entrée le sange en caontact étroit avec les alvéoles des poumons de
maniers que puissant se produit les échanges gazaux: elle ne sert pas
directement les besoins métaboliques du tissu pulmonaire.
Le ventricule doit propulse le
sang pauvre en oxygéne d'une rouge sombre ; dans le tronc pulmonaire, le tronc
pulmonaire monte en diagonales sur une distance d'envirent 8 CM, puit il donne
les artaires pulmonaire droit et gauche
dans les poumons , les artéres
pulmonaire émettent les artéres lonaires (trois dans les poumons droit
et deux dans le poumons gouche ).
Dont chacun dessert un lobe
pulmonaire, Après avoire suivi les bronches principales , les arters lobaires
se ramifient, formant des très nombreus artérioles et, enfin produisent les
réseau denses des capillaire pulmonaire qui entourent les alvéoles c'est là que
l'échange d'oxygéne et de gaz carbonique s'effectue entre le sange et l'air
alvéolaire A mesure que s'éléve la concentration d'oxygéne dans les globilles
rouge, le sang prend une couleur rouge claire , les lits capillaires pulmonaire
s'écoulent dans des veinules, qui se réunissent pour former les deux veines
pulmonaire de chaque poumon, les quatre veines pulmonaire bouclent le circuit
en déversant leur contenue dans
l'oreillette gauche. Rapplez vous u'un vaisseau désigné par un terme comprenant
le mot pulmonaire fait nécessairement partie de la circulation pulmonaire. Tous
les autres vaiseaux appartiennent à la
circulation systémique.
Les artères pulmonaires transportent du sang
pauvre en oxygene et rich en gaz carbonique, et les veines pulmonaires
conduisent du sang riche en oxygene. La situation est inversée dan la
circulation systemique.
Circulation coronarienne
Le sang qui circule presque continuellemnt
dans les cavités du cœur nourrit tres peu les tissus cardiaues.(le myocarde et
trop epais pour que la diffusion des nutriments et des gaz puisse repondre aux
besoins de toutes ses cellules). L'irrigation fonctionnelle du cœur releve de la circulation coronarienne,
la moine tenue des circulations de l'organisme. La contribution artérielle à
la circulation coronarienne est assuré
par les arteres coronaires droite et gauche. Ces arteres naissent de la base de
l'aorte et encerclent cœur dans le sillon coronaire. L'artere coronaire gauche de dirige du coté gauche du cœur puis
elle donne le rameau coronaire gauche. Le premier rameau suit le sillon
interventriculaire anterieur et il irrigue le septum inter ventriculaire et les
parois antérieure des deux ventricules; le second rameau dessert l'oreillette
gauche et la parois postérieure du ventriculaire.
L'artere coronaire droite s'etend vers le
coét droir du cœur où elle emet deux ramifications. Le rameau marginal drroit
irrigue le myocarde de la partie latérale du coté droit du cœur. Le rameau
uinterventriculaire postérieur, plus simportant atteint l'apex du cœur et
dessert les parois posterieures des
ventricules. Des ramifactions des rameaux interventriculaires antérieur et postérieur
se rejoigent (s'anastomosent) pres de l'apex du cœur . globalement, les rameaux
de l'atere coronaire droite irrigue l'oreiillette droite et preque tout le
ventricule droit.
La constitution du reseau arteriel du cœur
est fort variable. Chez 15% des gens, par exemple, l'artere coronaire
gauche donne naissance aux deux rameaux
interventriculaires; chez 4%, uine seule artere coronaire irrigue tout le cœur.
De plus, les ramifactions des arteres coronaires forment de nombreuses
anastomoses fournissant des voies supplementaires (collaterales) pour l'irrigation du muscle
cardiaque. C'est pourquoi l'obstruction par
partielle d'une artere coronaire ne suffit généralement pas à arreter la
circuilation du sang oxygene ans le cœur. Une occlusion complete, cependant,
entraine la nécrose tissulaire(mort des cellules cardiaques) et un infractuse
du myocarde.
Les artere coronaires fournissent au
myocarde un apport sanguin intermittent et rythmique. Ces vaisseauc et leurs
principales ramifactions sont logés dan kl'epicarde et leurs branches pénètrent
dans le myocarde pour le nourrir. Il
transporte du sang lorsque le muiscle cardiaque est relaché, mais ils sont
virtuellemnt ineffecaces au cours de la contraction ventriculaire. (1):En
effet: ils sont alors comprimés par le myocarde conbtracté; (2) leurs entrées
sont partiellement obstruées par la valve de l'aorte, qui est ouverte a ce
moment. Bien que le cœur ne présente qu'environ 1/200 de la masse corpporelle,
il utilise 1/20 du sang. Il va sans dire que le ventricule gauche reçoit la
majeure partie de cet apport.
Apres son passage dans les lits
capilaires du myocarde, le sang veineux
est recueilli par les veines du cœur, dont les trajets sont plus ou moins
jumelés à ceux des aretes coronaires. ces veines se reunissent en un gros
vaisseau, le sinus coronaire, qui deverse le sang dans l'oreillette droite. Le
sinus coronaire est bien visible surla face postérieure du cœur. Il a quatre
grand tributaires: la grande veine du cœur. Dans le sillon interventriculaire antérieur,
la petite veine du cœur(satellite de l'artere coronaire droite), dans le sillon
coronaire droit, la veine moyenne du cœur , dans le sillon interventriculaire
postérieur, et la veine postérieure du ventricule gauche, qui draine la face diaphragmatique du
ventricule gauche. De plus, quelques veines antérieurs du cœur se jettent
directement dans la partie antérieure de l'oreillette droite.
La circulation foeto-placentaire
Le sang est repartie dans le fœtus en
fonction des besoins particulière de chaque organe: de sorganes non encore
fonctionnels ou peu fonctionnels comme les poumons sont pratiquement excluix.
Le debit cardiaque et de 0,25 l/m/kg de poids corporel, la frequence de
130-160/moin environ (0% du sang venant du cœur fœtus vont vers le placenta, le
reste alimente le corps(35%) et les poumons(115%) du fœtus, le cœur, gauche et
le cœur droit sont pratiquement branchés en parallele d'un montage en serie
comme chez l'adulte n'est pas necessaire a ce stade.
Trajet du sang fœtus : apres s'etre
arterialisé dans le placenta( saturation 80%) le sang retourne vers le fœtus
par la veine ombilicale; il aboutit ensuite par le ductus veinosus ( canal
d'arantiius) au foie. A l'abouchement
dans la veine cave inferieur ce sang se
mele au sang veineux venant de la partie inferieure du corps conduit par ds
replis speciaux de la veine cave ce sang melangé arrive dans l'oreillette
droite puis passe directement dans l'oreillette
gauche au travers d'un orifice de la paroi interauriculaire( foranen
ovale) puis dans le ventricule gauche. Dans l'oreillette droite existe un autre
carrefour( avec seulemnt un melange partiel du sang).avec le sang veineux
drainé par la veine cave superieur ( sang venant de la tete) lequel s'ecoule vers le ventricule droit. Ce sang
n'aboutit dans les poumons que partiellement un tiers du volume d'ejection ( en
raison dela haute resistance du circuit pulmnaire les poumons n'etant pas
encore deplissés) les deux tiers restant traversent la communication entre
l'artere pulmonaire et l'aorte ( duclus artériosus ou canale artérial) du fait de la faible resistance peripherique (
placenta) . en effet la pression dan l'aorte est faible puisu'elle n'atteint
que 8,7 Pa ( 65 mmHg) en fin de grossesse. Le sang partiellement artérialisé du
ventricule gauche irrigue surtout le arteres cephaliques ( le cerveau
est trs sensible à un manque d'oxygene) et la partie superieure du corps ce
n'est que dans la portion descendante de l'aorte que le sang veineux venu par le ductuse
arteriosus se mlalnage avec le reste du
sang veineux. La partie inferieure du corps ne dispose de ce fait que d'un sang
reativement pauvre en O2. ( saturation = 60%) la plus grande parrtie de ce sang
retourne vers le placenta par l'artere ombilicale où il se recharge en O2 . lorsde
la naissance l'alimentation et l'epuration par le placenta cessent brusquement.
La PCO2 du sang augmente de ce fait ce
qui stimule fortement les centres respiratoires (par le biais des chémorecepteurs) le mouvement inspiratoire ainsi provoqué crée une depresion dans le
thorax ce qui entraine d'une part une
aspiration du sang contenu dans le placenta et dans la veine ombilicale( transfusion
placentaire) et d'autre part un deplissement de poumons.
Le deplissement des poumons fait chter la
resistance vasculaire de la circulation pulmonaire alors que la rsistance de la
grance circulation augmente dui fait de
l'auto-amputation du territoire placentaire au niveau de l'artere
placentaire. Une momdification du fluix sanguin dans le ductus arterosus se produit
alors. La circulation pulmonaire reçoit encore pendant quelque jours du sang le
l'aorte. Le remplissage de l'oreillette droit est reduit par suppression du
sang en provenance du placenta, tandis
que celui de l'oreillette gauche
s'acroit ( car la perfusion du sang en poumons augmente) lma chute de
pression qui s'établit entre
l'oreillettte gauche et la droite provoque la fermeture de foramen ovale. Avec
la croissance le formen ovale se terme completement de mem que le dictus
artériosus et le ductus veinosus( canal d'asantius) par ces modifications
neonatales les circulations pulmonaire et syustemique sont alors placées en serie.
Si le formen ovale ou le ductus artérosu
restent pêrmeables ( 20% des malformations cardiaques congenitales) il se
produit un cours circuit ( shunt) qui surchage le cœur. L'ouverture du formen
ovale crée un circuit : oreillette gauche ----- oreillette droit -----
ventricule droit ( surchage du cœur droit) ---- poumon----- oreillette gauche.
L'ouverture du ductus arteriosus permet
le circuit suivant : aorte ---- artere pulmonaire --- poumons(surchage
en pression) ---- cœur gauche --- ( surchage en volume) --- aorte.
Pressionveineuse :
La pression dans les veines est tres
vriable suivant les circonstance et les pressions dynamiques étant
habituellemnt tres basses, les foirces extra vasculaires interferent largment
souvent de façon génante : en effet la pression dynamique ne depasse en aucun
cas 20 mHg (2,5 KPa).
A la sortie du capillaire. La
pression dynamique est d'environ 15 mmHg (1,3 KPa). A l'entré dans les veines
proprement dites, elle n'(est plus que de 10 mmHg (1,3 KPa). Ainsi dans le
tres court trajet veinulaire de l'aorte
du meme chute de pression est des 5 mmHg ( 0,7 KPa) traduisant une resistance
élevée ce qui justifie le terme de vaiseaux resistif post-capillaire. A la
terminaison de veines dans l'oreillette droits, la pression est nulle ou discretemntnégative. Pour un trajet qui
atteint parfois plusieurs dizaine de centimetres la difference de pression dynamique
est trop faible, en regard de la deformabilité veineuse, pour assurer
correctement la progression sanguine en dehors du clino-statisme, c'est-à-dire
en presence d'une contrainte gravitationnelle importante.
La pression veineuse centrale
Du point de vue des volumes sanguins, non
seulemnt la totalité des veines systemiques, mais aussi tout le secteur à basse
pression se comporte comme un ensemble fonctionnel.
L'ugmntation de volume sanguin
en un point quelque, transfuion, par exemple, se repartira harmonieusement et
rapidement sur la totalité des vaisseaux à basse. Pression, y determinant une
élevation modérée, mais proportionnée, de la pression. C'est pourquoi la mesure
de la pression à la terminaison de la veine cave inferieure( pression veineuse centrale)
ou dans l'oreillette droite donne des informations hémodynamique précieuses. a
l'abri de toute composante hydrostatique,elle renseigne sur l''equilibre des
volumes sanguins et sur l'hémodynamique cardiaque. Ain,si, sa laisse témoigne
habituellemnt d'une baisse du volume sanguin circulaire, alors que on élevation
peut etre due à une défaillance ventriculaire ou à une surcharge liquidieuse.
Quatre paires d'arteres
irriguent la tete et le cou: les arteres carotides cmmunes et les trois
ramifactions de chaques arteres sudclavieres, soit les arteres vertébrales, le
tronc thyro-servical et le tronc costo-cervical. Parmi cesarteres, les
carotides comunes ont la plus vaste distribution.
Chaque artere carotide commune se divise en
deux grandes branches, les arteres carotides interne et externe. A la
bifurcation, chaque artere carotide interne presente une legere dilattaion, le
sinus carotidien, qui contient les barorecepteurs concourent à la régulation reflexe de la
pression artérielle systemique. Les glomus carotidiens, des chimiorecepteurs
intervenat dans la regulation de la frequence respiratoire , sont situé à
proximité. La compression du cou dans la region des sinus carotidien peut
causer l'evanouissement, car elle provoque, comme l'hypertension arterielle,
une vasodilatation qui entraine l'irrigation de l'encépahle.
Description et distribution
Arteres carotides comunes
Les arteres carotides comunes n'ont pas la
meme origine , en effet la droite nait
du tronc brachio-cephalique, tandis que la gauche et la deuxième branche de la
crosse de l'aorte. Les arteres carotides communes montent sur les cotés du cou
et, à la limite superieure de larynx( à la hauteur de la "pomme
d'Adam"), chacune donent ses deux branches principales, lm'artere carotide
externe et l'aorte carotide interne.
Les arteres carotides externes
Desservent la majeur partie des tissus de
la tete, à l'exception de l'encéphale et des orbites. En mentant, chacune emet
des ramifications vers la glande thyroïde et le larynx ( artere thyroidienne
superieure), la langue( artere linguale), lapeau et les muscles de la partie
superieure du cuir chevelu( artere sccipitale). Chaque artere carotide externe
se termine en donnant naissance à l'artere temporale superficielle, qui irrigue
la glande parotide et la majeur partie du cuir chevelu, et à l'artere
maxillaire, qui irrigue les machoires, les muscles de la mastication, les dents
et la cavité nasale. L'une des branches importantes( sur le plan clinique) de
l'aretre maxillaire est l'artere méningée moyenne, qui pénètre dans le crane
par le foramen épineux du sphénoide et irrigue la surface interne de l'os
pariétal, la region squameuse de l'os temporal et la dure-mere sous-jascente.
Les arteres carotides internes
Plus grosses que les precedentesn irriguent
les orbites et 80% du cerveau. Elles cheminent profondement et pênetrent dans
le crane par les canaux carotides des os temporaux. Une fois à l'interieur du crâne,
chacune emet une branche principale, l'artere ophtalmique, apres quoi elle done
l'artere cerebrale interieur et l'artere cerebrale moyene. Les arteres
ophtalmiques desservent els yeux, les orbites, le front et le nez. Chaque
artere cerebrale anterieure irrigue la face interne d'un hemisphere cerebral et
s'anastomose avec l'artere cerebral anterieure opposée, en une coutrte
derivation appelée artere comunication antérieure. Les arteres cerebrales
moyennes cheminent dans la scissure latérale de leurs hamispheres respectifs et
irriguent les cotés des lobes temporal et pariétal.
Arteres vertebrales
Les arteres vertebrales naissent des arteres
subclavieres à la racine du cou, elles montent à travers les trous
transversaire des vertebres cervicaleset elles entrent dans le crane par le
foramen magnum. En chemin, elles emettent des ramifications vers la partie
cervicale et la moelle épinière et vers quelques structures profondes du cou. A
l'interieur du crane, les arteres vertebrales droite et gauche s'unnissent pour former l'artere basilaire.
Celle-ci monte le long de la face antérieur du tronccérébral, donnant des
branches au cervelet, au pont et à l'oreille interne. A la limite entre le pont
et le mésencéphale, l'arere basilaire donne les deux arteres cérébrales
postérieures, qui desservent les lobes occipitaux et la partie inférieure des
lobes temporaux.
Des derivation artérielles appelées arteres
communicantes postérieures relient les arteres cerebrales posterieures aux
arteres cerebrales moyennes. Les deux arteres communicantes posterieures et l'unique
artere comunicante antérieure completent une anastomose appelée cercle
arteriel du cerveau, ou cercle de Willis. Le cercle artere du cerveau
entoure l'hypophyse et le chiasma optique, et il unit les vaisseaux antérieurs
et postérieurs de l'encéphale. Il sert aussi à équilibrer la presssion
arterielle dans les deux hamisphere du cerveau et donne au sang un accès
supplementaire au tissus cerebral en cas d'occlusion d'une artere carotide ou
vertebrale.
Tronc thyro-cervical et costo-cervical
Ces courts vaisseaux naissent de l'aretre
subclaviere. En aval des arteres vertebrales vertebrales. Le tronc
thyro-cervical dessert principalemnt la gland
thyroide et quelques muscles *****. Le tronc costo-cervical irrigue les
structures profondes du cou et els musles intercostaux superieurs.
Trois paires de veines receuillent la majeur
partie du sang de la tete et du cou: les veines jugulaires externes, qui se
vident dans le veines subclavieres, les veines jugulaires internes et les veine
svertebrales, qui se jettent dan la veine brachio-sophalique. Bienque la
plupart des veines et des arteres extra-crannieres portent les memes noms(
faciale, ophtalmique, occipitale, emportale superficielle, etc.), leurs
anstomoses et leurs trajets respectifs diffeèrent considerablement.
La plupart de sveines de l'encéphale se
deversent dans les sinus de la dure-mere, uen serie de cavités communicantes
situées dans l'épaisseur de la dure-mere. Les ^plu importants de ces sinus
veineus sont les sinus sagittaux superieur et inferieur de la faux du cerveau,
laquelle s'enfonce entre les hemispheres cerébraux, et les sinus caverneux, qui
bordent le corps de l'os sphenoide. Le sinus caverneux reçoit de la veine
ophtalmique le sang de l'orbite et de la veine faciale, qui draine le sang du
nez et de la levre superieure . l'arete carotide interne et les nerfs craniens III,
IV, VI et, en partie, V traversent tous le sinus caverneux sur leur trajet vers
l'orbite et le visage.
Description et region drainée
Veine jugulaires externes
Les veines jugulaires externes droite et
gauche drainent les structures superficielles de la tete ( le cuir chevelu et
le visage) desservies par les arteres carotides externes. Toutefois, leurs
tributaires s'anastomosent abondamment, et une partie du sang de ces structures
empruntent aussi les veines jugulaires internes. En descendant dans les cotés
du cou. Les veines jugulaires externes obliquent au-dessus des muscles
sterno-cleido-mastoidies, puis elles se vident dans les veines subclavieres.
Veines vertébrales.
Contrairement aux arteres vertebrales, ont
peu à avoir l'encéphale. En effet, elles ne drainent que les vertebres
cervicales, la moelle epiniere et quelques petits muscles du cou. Les veines
vertebrales descendent dans le trou transverssaire des vertebres cervicales et
elles rejoignent les veines brachio-céphaliques à la racine du cou.
Veines jugulaires internes
Les deux veines jugulaires internes, qui
reçoivent l'essentiel du sang de l'encéphale, sont les plus grosses veines
appariées drainnant la tete et le cou. Elles naissent des sinus de la
dure-mere, sortent du crane par les foramens jugulaires puis descendent dans le
cou le long de sarteres carotides internes. Ce faisant, elles reçoivent le sang
de quelques veines profondes du visage et du cou – des branches et des veines
temporales superficielles et faciale. A la base du cou, chaque veine jugulaire
interne s'unit à la veine subclaviere située du meme coté et forme une veine
brachio-céphalique. Les veines brachio-céphalique droite et gauche s'unissent
pour constituer la veine cave superieure.
Barriere hemato-encéphalique
Le liquide cerébro-spinal est élaboré par le
splexus choroide qui pendant du toit de chaque ventricule. Ces plexus sont des
amas de capillaires en forme de frondes( plexus = entrelacement). Ce sgros
capillaires presentent des parois minces; ils sont entourés par une couche
d'épendymocytes qui tapisse aussi les ventricules. Les capillaires des plexus
choroide sont assez permeables et une partie du plasma sanguin fitre
continuellement de la circulation sanguine vers le liquideinterstitiel.
Cependant, épendymocytes des plexus choroides sont unis par des jonctions
sérrées, et ils sont dotés de pompes ioniques qui leur permettent de modifier ce filtrat en transportant
activement certains ions à travers leures membranes, jusque dans les liquide
cérébro-spinal.. ce mécanisme établit des gradients ioniques qui entraînent la
diffusion de l'eau dans les ventricules. Le liquide cérébro-spinal est donc une
véritable sécrétion de l'épithélium des plexus choroïdes. Chez les adultes le
volume total du liquide cérébro-spinal
est d'environ 150 mL; il est remplacé toutes les trois ou quatre heures. Il se forme donc quotidiennement
de 900 à 1200 mL de liquide cérébro-spinal. Les plexus choroïdes contribuent
aussi à la débarrasser le liquide cérébro-spinal des déchets et des solitudes
inutiles( qui sont renvoyés dans le sang).
La barriere hemato-encéphalique est un
mecanisme de protection qui assure une stabilité au milieu interne de
l'encéphale. Le tissus nerveux de l'encéphale est, de tous les tissus de
l'organisme, celui qui a le plus besoin d'un milieu interne absolument constant
pour bien fonctionner. Dans les autrtes
regions de l'oorganisme, les concentrations axtracellulaire d'hormones,
d'acides aminés et d'ions varient considérablement, surtout apres les repas et
les periodes d'activités physique. Si l'encéphale etait soumis à de telles
fluctuations chimiques, ses neurones ne pourraient pas fonctionner normalement.
En effet, certaines hormones et certains acides aminés sont des
neurotransmetteurs, et certains ions( les ions potassium en particulier)
influent sur le seuil d'excitation et de polarisation des neurones.
Le sang qui circule dans les capillaires de
l'encéphale est separé de l'espace extracellulaire et des neurones;
(1) par l'endothélium ***** de la parois du capillaire;
(2) par une lame basale relativement
épaisse entourant la face externe des capillaires;et,
(3) dans une certaines mesure, par le
spieds bulbeux des artrocytes fixés aux capillaires.
Les cellules
endothéliales de scapillaires cérébraux sont unie de manière presque parfaite,
sur leur pourtour, par des jonctions sérrées qui en font les capillaires les
plus impermeables de l'organisme. L'impermeabilité relative des capillaires
cérébraux constitue l'essentiel( sinon la totalité) de la barriere
hémato-encéphalique. On pensait autrefois que les astrocytes contribuaient à la
barriere hémato-encéphalique, mais la microscopie éléctronique a révélé que
leurs pieds sont trop distant pour assurer une quelconque étanchéité. On croit
aujourd'hui que le role principale des pieds des astrocytes est de fournir les
signaux qui incitent les cellules endothéliales des capillaires cérébraux à
former les jonctions sérrées caractéristiques de la barriere hémato-encéphalique.
La barrière
hémato-encéphalique ne fonctionne pas de manière absolue mais sélective. Des
nutriments comme le glucose, les acides aminés essentiels et certains électrolytes
la franchissement passivement par diffusion facilitée à travers les membranes
des cellules endothéliales des capillaires. Les déchets du métabolisme
transportés par le sang, comme l'urée et la créatinine, de même que les protéines,
certaines toxines et la plupart des médicaments ne peuvent diffuser du sang
vers le tissus cérébral. Non seulement les petits acides aminés non essentiels
et les ions potassium ne peuvent-ils pénétrer dans l'encéphale, mais ils en sont
retirés activement par l'endothélium des capillaires.
La barrière
hémato-encéphalique est impuissante contre les matières liposolubles comme les
acides gras, l'oxygène et le gaz carbonique, qui diffusent aisément à travers
la couche de phospholipides de toutes les membranes plasmiques. Cela explique
pourquoi l'alcool, la nicotine, les drogues et les anesthésiques circulant dans
le sang peuvent entraver le fonctionnement des neurones de l'encéphale.
La structure
de la barriere hémato-encéphalique n'est pas uniforme. Les capillaires des
plexus choroides sont très poreux, mais les épendymocytes qui les entourent
sont dotés de jonctions sérrées. La barriere hémato-encéphalique est absente
dans certaines régions de l'encéphale,, notamment à quelques endroits autour du
troisieme et du quatrieme ventricules;
etant donné que l'endothélium des capillaires y est permeable, les molécules
transportées par le sang ont un accès facile au tissus nerveux. Tel est le cas
du centre du vomissement dans le tronc cérébral, qui detecte les substances
toxiques dans les ang, ainsi que de l'hypothalamus, qui regit l'equilibre
hydrique, la temperature corporelle et de nombreuses activités métaboliques. Si
l'hypothalamus était pourvu d'une barriere hémato-encéphaliqeu, il pourait
analyser la composition chimique du sang. La barriere hémato-encéphalique est
incomplete chez les nouveau-nés et les.
Autoregulation du debit sanguin
L'autoregulation et l'adaptation
automatiqye du debit sanguin aux besoins de chaque tissus. Ce processus repose
sur des conditions locales et il est peu influencé par els facteurs
systemiques. La presssion artérielle moyenne
est constante dans l'organisme et les mecanismes homéostatiques ajustent
le debit cardiaque au besoin pour qu'il en soit ainsi. Les variations du debit
sanguin dans les organes relèvent d'un mecanisme intrinseque, soit la
modification du diametre des arterioles locales alimentant les capillaires.
Les organes
regissent donc le debit sanguin qui les traverse En modifiant la resistance de
leurs artérioles. Comme nous allons le voir maintenant, ces mecanismes de
regulation intrinseques peuvent etre soit metaboliques soit myogenes.
Mecanisme de regulation metabolique
Dans la plupart de tissu, la diminution des
concentrations de nutriments, en particulier de l'oxygene, est le principale
stimulus de l'autoregulation. On a recemment decouvert que la vasodilatation
induite par le monoxide d'azote favorise
considerablement l'apport d'oxygene aux cellule des tissus. En effet,
l'hémoglobine contenue dans les érythrocytes"depose" le monoxides d'azote là où il est necessaire.
Lorsque l'hemoglobine se remplit d'oxygene dans les poumons, elle capte
également du monoxide d'azote. Lorsqu'il atteint les capillaires des tiissus,
le monoxide d'azote quitte l'hémoglobine en meme temps que l'oxygene, ce qui
cause une vasodilatation. Parmi les autres stimulus de l'autoregulation, on
trouve des substances libérées par les cellules des tissus dont l'activité
métabolique est importante ( comme les ions potassium et l'hydrogene,
l'adenosine et l'acide lactique),les prostaglandine et les substances sécrétées
durant la reaction inflammatoires ( histamine et kenine). Mais quelque soit le
stimulus à son origine, l'autoregulation entraine une dilatation immédiate des
arterioles desservant les lits capillaires des tissus et par voie de
conséquence, une augmentation temporaire du debit sanguin dans la région. Cela
s'accompagne d'un relachement des sphincters précapillaires qui permet au sang
de jaillir dans les capillaires vrais et d'atteindre les cellules.
Mecanismes de regulation myogenes.
Lorsque l'irrigation sanguine dans un organe
est inadequate, la vitesse du metabolisme chute rapidement et provoque, à long
terme, la mort de lorgane. De meme, une pression arterielle et une irrigation
de tissus trop élevées peuvent etre dangereuses pour les vaisseaux sanguinsplus
fragiles, qui risquent de se rompre. Les variations locales de la pression
artérielle et du volume sanguin dans les artérioles sont plus importants dans
l'autoregulation car elles stimulent directement le muscle lisse vasculaire et
provoquent des reponses myogenes. Le muscle lisse vasculaire réagit à étirement
passif par une augmentation de son tonus, laquelle cause la vasoconstriction.
Inversement, la diminutionde l'étirement provoque la vasodilatation et augmente
le debit sanguin dans les tissus. Le mecanisme de regulation myogene maintient
l'irrigation des tissus à un degre relativement constant malgré les changements
de pression systemique.
En general,
de sfacteurs tant chimiques ( metaboliques) que physiques ( myogenes)
determinent la reponse autoregulatrice finale d'un tissu. Par exemple,
l'hyerémie passive est une augmentation marquée du debit sanguin dans un tissus
à la suite d'un blocage temporaire de son irrigation. Elle resulte à la fois de
la reponse myogene et de l'accumulation de déchets métaboliques survenue
pendant l'occlusion.
Autorégulation
à long terme
Si les besoins d'un tissus sont tel que le
mecanisme d'autoregulation à court terme ne suffit pas à les combler, un
mecanisme à long terme peut s'établir en quelques semaines ou quelques mois de
maniere à augmenter le debit sanguin local. Le nombre le nombre de vaiseaux
s'accroit dans le tissus et els vaisseaux existants grossissent. Ce phénomene
se produit notamment dans le cœur en cas d'occlusion partielle, d'un vaisseau
coronaire : il survient également dans l'ensemble de l'organisme des gens qui
vivent en altitude, où l'air contient moins d'oxygene qu'au niveau de la mer.