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Circulation pulmonaire

مايو 27, 2013
Circulation pulmonaire
 Circulation pulmonaire a pour seul role de faire entrée le sange en caontact étroit avec les alvéoles des poumons de maniers que puissant se produit les échanges gazaux: elle ne sert pas directement les besoins métaboliques du tissu pulmonaire.
Le ventricule doit propulse le sang pauvre en oxygéne d'une rouge sombre ; dans le tronc pulmonaire, le tronc pulmonaire monte en diagonales sur une distance d'envirent 8 CM, puit il donne les artaires pulmonaire droit et gauche  dans les poumons , les artéres  pulmonaire émettent les artéres lonaires (trois dans les poumons droit et deux dans le poumons gouche ).
Dont chacun dessert un lobe pulmonaire, Après avoire suivi les bronches principales , les arters lobaires se ramifient, formant des très nombreus artérioles et, enfin produisent les réseau denses des capillaire pulmonaire qui entourent les alvéoles c'est là que l'échange d'oxygéne et de gaz carbonique s'effectue entre le sange et l'air alvéolaire A mesure que s'éléve la concentration d'oxygéne dans les globilles rouge, le sang prend une couleur rouge claire , les lits capillaires pulmonaire s'écoulent dans des veinules, qui se réunissent pour former les deux veines pulmonaire de chaque poumon, les quatre veines pulmonaire bouclent le circuit en déversant leur   contenue dans l'oreillette gauche. Rapplez vous u'un vaisseau désigné par un terme comprenant le mot pulmonaire fait nécessairement partie de la circulation pulmonaire. Tous les autres vaiseaux  appartiennent à la circulation systémique.
  Les artères pulmonaires transportent du sang pauvre en oxygene et rich en gaz carbonique, et les veines pulmonaires conduisent du sang riche en oxygene. La situation est inversée dan la circulation systemique.
 Circulation coronarienne
 Le sang qui circule presque continuellemnt dans les cavités du cœur nourrit tres peu les tissus cardiaues.(le myocarde et trop epais pour que la diffusion des nutriments et des gaz puisse repondre aux besoins de toutes ses cellules). L'irrigation fonctionnelle du  cœur releve de la circulation coronarienne, la moine tenue des circulations de l'organisme. La contribution artérielle à la  circulation coronarienne est assuré par les arteres coronaires droite et gauche. Ces arteres naissent de la base de l'aorte et encerclent cœur dans le sillon coronaire. L'artere coronaire  gauche de dirige du coté gauche du cœur puis elle donne le rameau coronaire gauche. Le premier rameau suit le sillon interventriculaire anterieur et il irrigue le septum inter ventriculaire et les parois antérieure des deux ventricules; le second rameau dessert l'oreillette gauche et la parois postérieure du ventriculaire.
  L'artere coronaire droite s'etend vers le coét droir du cœur où elle emet deux ramifications. Le rameau marginal drroit irrigue le myocarde de la partie latérale du coté droit du cœur. Le rameau uinterventriculaire postérieur, plus simportant atteint l'apex du cœur et dessert les parois posterieures  des ventricules. Des ramifactions des rameaux interventriculaires antérieur et postérieur se rejoigent (s'anastomosent) pres de l'apex du cœur . globalement, les rameaux de l'atere coronaire droite irrigue l'oreiillette droite et preque tout le ventricule droit.
  La constitution du reseau arteriel du cœur est fort variable. Chez 15% des gens, par exemple, l'artere coronaire gauche  donne naissance aux deux rameaux interventriculaires; chez 4%, uine seule artere coronaire irrigue tout le cœur. De plus, les ramifactions des arteres coronaires forment de nombreuses anastomoses fournissant des voies supplementaires  (collaterales) pour l'irrigation du muscle cardiaque. C'est pourquoi l'obstruction par  partielle d'une artere coronaire ne suffit généralement pas à arreter la circuilation du sang oxygene ans le cœur. Une occlusion complete, cependant, entraine la nécrose tissulaire(mort des cellules cardiaques) et un infractuse du myocarde.
   Les artere coronaires fournissent au myocarde un apport sanguin intermittent et rythmique. Ces vaisseauc et leurs principales ramifactions sont logés dan kl'epicarde et leurs branches pénètrent dans le myocarde  pour le nourrir. Il transporte du sang lorsque le muiscle cardiaque est relaché, mais ils sont virtuellemnt ineffecaces au cours de la contraction ventriculaire. (1):En effet: ils sont alors comprimés par le myocarde conbtracté; (2) leurs entrées sont partiellement obstruées par la valve de l'aorte, qui est ouverte a ce moment. Bien que le cœur ne présente qu'environ 1/200 de la masse corpporelle, il utilise 1/20 du sang. Il va sans dire que le ventricule gauche reçoit la majeure partie de cet apport.
 Apres son passage dans les lits capilaires  du myocarde, le sang veineux est recueilli par les veines du cœur, dont les trajets sont plus ou moins jumelés à ceux des aretes coronaires. ces veines se reunissent en un gros vaisseau, le sinus coronaire, qui deverse le sang dans l'oreillette droite. Le sinus coronaire est bien visible surla face postérieure du cœur. Il a quatre grand tributaires: la grande veine du cœur. Dans le sillon interventriculaire antérieur, la petite veine du cœur(satellite de l'artere coronaire droite), dans le sillon coronaire droit, la veine moyenne du cœur , dans le sillon interventriculaire postérieur, et la veine postérieure du ventricule  gauche, qui draine la face diaphragmatique du ventricule gauche. De plus, quelques veines antérieurs du cœur se jettent directement dans la partie antérieure de l'oreillette droite.
 La circulation foeto-placentaire
   Le sang est repartie dans le fœtus en fonction des besoins particulière de chaque organe: de sorganes non encore fonctionnels ou peu fonctionnels comme les poumons sont pratiquement excluix. Le debit cardiaque et de 0,25 l/m/kg de poids corporel, la frequence de 130-160/moin environ (0% du sang venant du cœur fœtus vont vers le placenta, le reste alimente le corps(35%) et les poumons(115%) du fœtus, le cœur, gauche et le cœur droit sont pratiquement branchés en parallele d'un montage en serie comme chez l'adulte n'est pas necessaire a ce stade.
  Trajet du sang fœtus : apres s'etre arterialisé dans le placenta( saturation 80%) le sang retourne vers le fœtus par la veine ombilicale; il aboutit ensuite par le ductus veinosus ( canal d'arantiius) au  foie. A l'abouchement dans la veine cave inferieur  ce sang se mele au sang veineux venant de la partie inferieure du corps conduit par ds replis speciaux de la veine cave ce sang melangé arrive dans l'oreillette droite puis passe directement dans l'oreillette  gauche au travers d'un orifice de la paroi interauriculaire( foranen ovale) puis dans le ventricule gauche. Dans l'oreillette droite existe un autre carrefour( avec seulemnt un melange partiel du sang).avec le sang veineux drainé par la veine cave superieur ( sang venant de la tete) lequel  s'ecoule vers le ventricule droit. Ce sang n'aboutit dans les poumons que partiellement un tiers du volume d'ejection ( en raison dela haute resistance du circuit pulmnaire les poumons n'etant pas encore deplissés) les deux tiers restant traversent la communication entre l'artere pulmonaire et l'aorte ( duclus artériosus ou canale artérial)  du fait de la faible resistance peripherique ( placenta) . en effet la pression dan l'aorte est faible puisu'elle n'atteint que 8,7 Pa ( 65 mmHg) en fin de grossesse. Le sang partiellement artérialisé  du  ventricule gauche irrigue surtout le arteres cephaliques ( le cerveau est trs sensible à un manque d'oxygene) et la partie superieure du corps ce n'est que dans la portion descendante de l'aorte  que le sang veineux venu par le ductuse arteriosus  se mlalnage avec le reste du sang veineux. La partie inferieure du corps ne dispose de ce fait que d'un sang reativement pauvre en O2. ( saturation = 60%) la plus grande parrtie de ce sang retourne vers le placenta par l'artere ombilicale où il se recharge en O2 . lorsde la naissance l'alimentation et l'epuration par le placenta cessent brusquement. La PCO2  du sang augmente de ce fait ce qui stimule fortement les centres respiratoires (par le biais des  chémorecepteurs) le mouvement inspiratoire  ainsi provoqué crée une depresion dans le thorax  ce qui entraine d'une part une aspiration du sang contenu dans le placenta et dans la veine ombilicale( transfusion placentaire) et d'autre part un deplissement de poumons.
  Le deplissement des poumons fait chter la resistance vasculaire de la circulation pulmonaire alors que la rsistance de la grance circulation augmente dui fait de  l'auto-amputation du territoire placentaire au niveau de l'artere placentaire. Une momdification du fluix sanguin dans le ductus arterosus se produit alors. La circulation pulmonaire reçoit encore pendant quelque jours du sang le l'aorte. Le remplissage de l'oreillette droit est reduit par suppression du sang  en provenance du placenta, tandis que celui de l'oreillette gauche  s'acroit ( car la perfusion du sang en poumons augmente) lma chute de pression qui  s'établit entre l'oreillettte gauche et la droite provoque la fermeture de foramen ovale. Avec la croissance le formen ovale se terme completement de mem que le dictus artériosus et le ductus veinosus( canal d'asantius) par ces modifications neonatales les circulations pulmonaire et syustemique sont alors placées en serie.
 Si le formen ovale ou le ductus artérosu restent pêrmeables ( 20% des malformations cardiaques congenitales) il se produit un cours circuit ( shunt) qui surchage le cœur. L'ouverture du formen ovale crée un circuit : oreillette gauche ----- oreillette droit ----- ventricule droit ( surchage du cœur droit) ---- poumon----- oreillette gauche. L'ouverture du ductus arteriosus permet  le circuit suivant : aorte ---- artere pulmonaire --- poumons(surchage en pression) ---- cœur gauche --- ( surchage en volume) --- aorte.

 Pressionveineuse : 
      La pression dans les veines est tres vriable suivant les circonstance et les pressions dynamiques étant habituellemnt tres basses, les foirces extra vasculaires interferent largment souvent de façon génante : en effet la pression dynamique ne depasse en aucun cas 20 mHg (2,5 KPa).
A la sortie du capillaire. La pression dynamique est d'environ 15 mmHg (1,3 KPa). A l'entré dans les veines proprement dites, elle n'(est plus que de 10 mmHg (1,3 KPa). Ainsi dans le tres  court trajet veinulaire de l'aorte du meme chute de pression est des 5 mmHg ( 0,7 KPa) traduisant une resistance élevée ce qui justifie le terme de vaiseaux resistif post-capillaire. A la terminaison de veines dans l'oreillette droits, la pression est nulle  ou discretemntnégative. Pour un trajet qui atteint parfois plusieurs dizaine de centimetres la difference de pression dynamique est trop faible, en regard de la deformabilité veineuse, pour assurer correctement la progression sanguine en dehors du clino-statisme, c'est-à-dire en presence d'une contrainte gravitationnelle importante.
 La pression veineuse centrale
  Du point de vue des volumes sanguins, non seulemnt la totalité des veines systemiques, mais aussi tout le secteur à basse pression se comporte comme un ensemble fonctionnel.
L'ugmntation de volume sanguin en un point quelque, transfuion, par exemple, se repartira harmonieusement et rapidement sur la totalité des vaisseaux à basse. Pression, y determinant une élevation modérée, mais proportionnée, de la pression. C'est pourquoi la mesure de la pression à la terminaison de la veine cave inferieure( pression veineuse centrale) ou dans l'oreillette droite donne des informations hémodynamique précieuses. a l'abri de toute composante hydrostatique,elle renseigne sur l''equilibre des volumes sanguins et sur l'hémodynamique cardiaque. Ain,si, sa laisse témoigne habituellemnt d'une baisse du volume sanguin circulaire, alors que on élevation peut etre due à une défaillance ventriculaire ou à une surcharge liquidieuse.

Quatre paires d'arteres irriguent la tete et le cou: les arteres carotides cmmunes et les trois ramifactions de chaques arteres sudclavieres, soit les arteres vertébrales, le tronc thyro-servical et le tronc costo-cervical. Parmi cesarteres, les carotides comunes ont la plus vaste distribution.
   Chaque artere carotide commune se divise en deux grandes branches, les arteres carotides interne et externe. A la bifurcation, chaque artere carotide interne presente une legere dilattaion, le sinus carotidien, qui contient les barorecepteurs  concourent à la régulation reflexe de la pression artérielle systemique. Les glomus carotidiens, des chimiorecepteurs intervenat dans la regulation de la frequence respiratoire , sont situé à proximité. La compression du cou dans la region des sinus carotidien peut causer l'evanouissement, car elle provoque, comme l'hypertension arterielle, une vasodilatation qui entraine l'irrigation de l'encépahle.


  Description et distribution
  Arteres carotides comunes
   Les arteres carotides comunes n'ont pas la meme origine  , en effet la droite nait du tronc brachio-cephalique, tandis que la gauche et la deuxième branche de la crosse de l'aorte. Les arteres carotides communes montent sur les cotés du cou et, à la limite superieure de larynx( à la hauteur de la "pomme d'Adam"), chacune donent ses deux branches principales, lm'artere carotide externe et l'aorte carotide interne.
   Les arteres carotides externes
     Desservent la majeur partie des tissus de la tete, à l'exception de l'encéphale et des orbites. En mentant, chacune emet des ramifications vers la glande thyroïde et le larynx ( artere thyroidienne superieure), la langue( artere linguale), lapeau et les muscles de la partie superieure du cuir chevelu( artere sccipitale). Chaque artere carotide externe se termine en donnant naissance à l'artere temporale superficielle, qui irrigue la glande parotide et la majeur partie du cuir chevelu, et à l'artere maxillaire, qui irrigue les machoires, les muscles de la mastication, les dents et la cavité nasale. L'une des branches importantes( sur le plan clinique) de l'aretre maxillaire est l'artere méningée moyenne, qui pénètre dans le crane par le foramen épineux du sphénoide et irrigue la surface interne de l'os pariétal, la region squameuse de l'os temporal et la dure-mere sous-jascente.
 Les arteres carotides internes
    Plus grosses que les precedentesn irriguent les orbites et 80% du cerveau. Elles cheminent profondement et pênetrent dans le crane par les canaux carotides des os temporaux. Une fois à l'interieur du crâne, chacune emet une branche principale, l'artere ophtalmique, apres quoi elle done l'artere cerebrale interieur et l'artere cerebrale moyene. Les arteres ophtalmiques desservent els yeux, les orbites, le front et le nez. Chaque artere cerebrale anterieure irrigue la face interne d'un hemisphere cerebral et s'anastomose avec l'artere cerebral anterieure opposée, en une coutrte derivation appelée artere comunication antérieure. Les arteres cerebrales moyennes cheminent dans la scissure latérale de leurs hamispheres respectifs et irriguent les cotés des lobes temporal et pariétal.
   Arteres vertebrales
   Les arteres vertebrales naissent des arteres subclavieres à la racine du cou, elles montent à travers les trous transversaire des vertebres cervicaleset elles entrent dans le crane par le foramen magnum. En chemin, elles emettent des ramifications vers la partie cervicale et la moelle épinière et vers quelques structures profondes du cou. A l'interieur du crane, les arteres vertebrales droite et gauche  s'unnissent pour former l'artere basilaire. Celle-ci monte le long de la face antérieur du tronccérébral, donnant des branches au cervelet, au pont et à l'oreille interne. A la limite entre le pont et le mésencéphale, l'arere basilaire donne les deux arteres cérébrales postérieures, qui desservent les lobes occipitaux et la partie inférieure des lobes temporaux.
  Des derivation artérielles appelées arteres communicantes postérieures relient les arteres cerebrales posterieures aux arteres cerebrales moyennes. Les deux arteres communicantes posterieures et l'unique artere comunicante antérieure completent une anastomose appelée  cercle  arteriel du cerveau, ou cercle de Willis. Le cercle artere du cerveau entoure l'hypophyse et le chiasma optique, et il unit les vaisseaux antérieurs et postérieurs de l'encéphale. Il sert aussi à équilibrer la presssion arterielle dans les deux hamisphere du cerveau et donne au sang un accès supplementaire au tissus cerebral en cas d'occlusion d'une artere carotide ou vertebrale.
  Tronc thyro-cervical et costo-cervical
      Ces courts vaisseaux naissent de l'aretre subclaviere. En aval des arteres vertebrales vertebrales. Le tronc thyro-cervical dessert principalemnt la gland  thyroide et quelques muscles *****. Le tronc costo-cervical irrigue les structures profondes du cou et els musles intercostaux superieurs.
 Trois paires de veines receuillent la majeur partie du sang de la tete et du cou: les veines jugulaires externes, qui se vident dans le veines subclavieres, les veines jugulaires internes et les veine svertebrales, qui se jettent dan la veine brachio-sophalique. Bienque la plupart des veines et des arteres extra-crannieres portent les memes noms( faciale, ophtalmique, occipitale, emportale superficielle, etc.), leurs anstomoses et leurs trajets respectifs diffeèrent considerablement.
   La plupart de sveines de l'encéphale se deversent dans les sinus de la dure-mere, uen serie de cavités communicantes situées dans l'épaisseur de la dure-mere. Les ^plu importants de ces sinus veineus sont les sinus sagittaux superieur et inferieur de la faux du cerveau, laquelle s'enfonce entre les hemispheres cerébraux, et les sinus caverneux, qui bordent le corps de l'os sphenoide. Le sinus caverneux reçoit de la veine ophtalmique le sang de l'orbite et de la veine faciale, qui draine le sang du nez et de la levre superieure . l'arete carotide interne et les nerfs craniens III, IV, VI et, en partie, V traversent tous le sinus caverneux sur leur trajet vers l'orbite et le visage.

 Description et region drainée
  Veine jugulaires externes
      Les veines jugulaires externes droite et gauche drainent les structures superficielles de la tete ( le cuir chevelu et le visage) desservies par les arteres carotides externes. Toutefois, leurs tributaires s'anastomosent abondamment, et une partie du sang de ces structures empruntent aussi les veines jugulaires internes. En descendant dans les cotés du cou. Les veines jugulaires externes obliquent au-dessus des muscles sterno-cleido-mastoidies, puis elles se vident dans les veines subclavieres.
 Veines vertébrales.
   Contrairement aux arteres vertebrales, ont peu à avoir l'encéphale. En effet, elles ne drainent que les vertebres cervicales, la moelle epiniere et quelques petits muscles du cou. Les veines vertebrales descendent dans le trou transverssaire des vertebres cervicales et elles rejoignent les veines brachio-céphaliques à la racine du cou.
 Veines jugulaires internes
     Les deux veines jugulaires internes, qui reçoivent l'essentiel du sang de l'encéphale, sont les plus grosses veines appariées drainnant la tete et le cou. Elles naissent des sinus de la dure-mere, sortent du crane par les foramens jugulaires puis descendent dans le cou le long de sarteres carotides internes. Ce faisant, elles reçoivent le sang de quelques veines profondes du visage et du cou – des branches et des veines temporales superficielles et faciale. A la base du cou, chaque veine jugulaire interne s'unit à la veine subclaviere située du meme coté et forme une veine brachio-céphalique. Les veines brachio-céphalique droite et gauche s'unissent pour constituer la veine cave superieure.
 Barriere hemato-encéphalique
  Le liquide cerébro-spinal est élaboré par le splexus choroide qui pendant du toit de chaque ventricule. Ces plexus sont des amas de capillaires en forme de frondes( plexus = entrelacement). Ce sgros capillaires presentent des parois minces; ils sont entourés par une couche d'épendymocytes qui tapisse aussi les ventricules. Les capillaires des plexus choroide sont assez permeables et une partie du plasma sanguin fitre continuellement de la circulation sanguine vers le liquideinterstitiel. Cependant, épendymocytes des plexus choroides sont unis par des jonctions sérrées, et ils sont dotés de pompes ioniques qui leur permettent de  modifier ce filtrat en transportant activement certains ions à travers leures membranes, jusque dans les liquide cérébro-spinal.. ce mécanisme établit des gradients ioniques qui entraînent la diffusion de l'eau dans les ventricules. Le liquide cérébro-spinal est donc une véritable sécrétion de l'épithélium des plexus choroïdes. Chez les adultes le volume  total du liquide cérébro-spinal est d'environ 150 mL; il est remplacé toutes les  trois ou quatre heures. Il se forme donc quotidiennement de 900 à 1200 mL de liquide cérébro-spinal. Les plexus choroïdes contribuent aussi à la débarrasser le liquide cérébro-spinal des déchets et des solitudes inutiles( qui sont renvoyés dans le sang).
 La barriere hemato-encéphalique est un mecanisme de protection qui assure une stabilité au milieu interne de l'encéphale. Le tissus nerveux de l'encéphale est, de tous les tissus de l'organisme, celui qui a le plus besoin d'un milieu interne absolument constant pour bien fonctionner.  Dans les autrtes regions de l'oorganisme, les concentrations axtracellulaire d'hormones, d'acides aminés et d'ions varient considérablement, surtout apres les repas et les periodes d'activités physique. Si l'encéphale etait soumis à de telles fluctuations chimiques, ses neurones ne pourraient pas fonctionner normalement. En effet, certaines hormones et certains acides aminés sont des neurotransmetteurs, et certains ions( les ions potassium en particulier) influent sur le seuil d'excitation et de polarisation des neurones.
   Le sang qui circule dans les capillaires de l'encéphale est separé de l'espace extracellulaire et des neurones;
(1) par l'endothélium ***** de la parois du capillaire;
(2)  par une lame basale relativement épaisse entourant la face externe des capillaires;et,
(3)  dans une certaines mesure, par le spieds bulbeux des artrocytes fixés aux capillaires.
Les cellules endothéliales de scapillaires cérébraux sont unie de manière presque parfaite, sur leur pourtour, par des jonctions sérrées qui en font les capillaires les plus impermeables de l'organisme. L'impermeabilité relative des capillaires cérébraux constitue l'essentiel( sinon la totalité) de la barriere hémato-encéphalique. On pensait autrefois que les astrocytes contribuaient à la barriere hémato-encéphalique, mais la microscopie éléctronique a révélé que leurs pieds sont trop distant pour assurer une quelconque étanchéité. On croit aujourd'hui que le role principale des pieds des astrocytes est de fournir les signaux qui incitent les cellules endothéliales des capillaires cérébraux à former les jonctions sérrées caractéristiques de la barriere hémato-encéphalique.
La barrière hémato-encéphalique ne fonctionne pas de manière absolue mais sélective. Des nutriments comme le glucose, les acides aminés essentiels et certains électrolytes la franchissement passivement par diffusion facilitée à travers les membranes des cellules endothéliales des capillaires. Les déchets du métabolisme transportés par le sang, comme l'urée et la créatinine, de même que les protéines, certaines toxines et la plupart des médicaments ne peuvent diffuser du sang vers le tissus cérébral. Non seulement les petits acides aminés non essentiels et les ions potassium ne peuvent-ils pénétrer dans l'encéphale, mais ils en sont retirés activement par l'endothélium des capillaires.
La barrière hémato-encéphalique est impuissante contre les matières liposolubles comme les acides gras, l'oxygène et le gaz carbonique, qui diffusent aisément à travers la couche de phospholipides de toutes les membranes plasmiques. Cela explique pourquoi l'alcool, la nicotine, les drogues et les anesthésiques circulant dans le sang peuvent entraver le fonctionnement des neurones de l'encéphale.
La structure de la barriere hémato-encéphalique n'est pas uniforme. Les capillaires des plexus choroides sont très poreux, mais les épendymocytes qui les entourent sont dotés de jonctions sérrées. La barriere hémato-encéphalique est absente dans certaines régions de l'encéphale,, notamment à quelques endroits autour du troisieme et du  quatrieme ventricules; etant donné que l'endothélium des capillaires y est permeable, les molécules transportées par le sang ont un accès facile au tissus nerveux. Tel est le cas du centre du vomissement dans le tronc cérébral, qui detecte les substances toxiques dans les ang, ainsi que de l'hypothalamus, qui regit l'equilibre hydrique, la temperature corporelle et de nombreuses activités métaboliques. Si l'hypothalamus était pourvu d'une barriere hémato-encéphaliqeu, il pourait analyser la composition chimique du sang. La barriere hémato-encéphalique est incomplete chez les nouveau-nés et les.

 Autoregulation du debit sanguin
    L'autoregulation et l'adaptation automatiqye du debit sanguin aux besoins de chaque tissus. Ce processus repose sur des conditions locales et il est peu influencé par els facteurs systemiques. La presssion artérielle moyenne  est constante dans l'organisme et les mecanismes homéostatiques ajustent le debit cardiaque au besoin pour qu'il en soit ainsi. Les variations du debit sanguin dans les organes relèvent d'un mecanisme intrinseque, soit la modification du diametre des arterioles locales alimentant les capillaires.
Les organes regissent donc le debit sanguin qui les traverse En modifiant la resistance de leurs artérioles. Comme nous allons le voir maintenant, ces mecanismes de regulation intrinseques peuvent etre soit metaboliques soit myogenes.
  Mecanisme de regulation metabolique
    Dans la plupart de tissu, la diminution des concentrations de nutriments, en particulier de l'oxygene, est le principale stimulus de l'autoregulation. On a recemment decouvert que la vasodilatation induite par le monoxide d'azote  favorise considerablement l'apport d'oxygene aux cellule des tissus. En effet, l'hémoglobine contenue dans les érythrocytes"depose"  le monoxides d'azote là où il est necessaire. Lorsque l'hemoglobine se remplit d'oxygene dans les poumons, elle capte également du monoxide d'azote. Lorsqu'il atteint les capillaires des tiissus, le monoxide d'azote quitte l'hémoglobine en meme temps que l'oxygene, ce qui cause une vasodilatation. Parmi les autres stimulus de l'autoregulation, on trouve des substances libérées par les cellules des tissus dont l'activité métabolique est importante ( comme les ions potassium et l'hydrogene, l'adenosine et l'acide lactique),les prostaglandine et les substances sécrétées durant la reaction inflammatoires ( histamine et kenine). Mais quelque soit le stimulus à son origine, l'autoregulation entraine une dilatation immédiate des arterioles desservant les lits capillaires des tissus et par voie de conséquence, une augmentation temporaire du debit sanguin dans la région. Cela s'accompagne d'un relachement des sphincters précapillaires qui permet au sang de jaillir dans les capillaires vrais et d'atteindre les cellules.

  Mecanismes de regulation myogenes.
  Lorsque l'irrigation sanguine dans un organe est inadequate, la vitesse du metabolisme chute rapidement et provoque, à long terme, la mort de lorgane. De meme, une pression arterielle et une irrigation de tissus trop élevées peuvent etre dangereuses pour les vaisseaux sanguinsplus fragiles, qui risquent de se rompre. Les variations locales de la pression artérielle et du volume sanguin dans les artérioles sont plus importants dans l'autoregulation car elles stimulent directement le muscle lisse vasculaire et provoquent des reponses myogenes. Le muscle lisse vasculaire réagit à étirement passif par une augmentation de son tonus, laquelle cause la vasoconstriction. Inversement, la diminutionde l'étirement provoque la vasodilatation et augmente le debit sanguin dans les tissus. Le mecanisme de regulation myogene maintient l'irrigation des tissus à un degre relativement constant malgré les changements de pression systemique.
En general, de sfacteurs tant chimiques ( metaboliques) que physiques ( myogenes) determinent la reponse autoregulatrice finale d'un tissu. Par exemple, l'hyerémie passive est une augmentation marquée du debit sanguin dans un tissus à la suite d'un blocage temporaire de son irrigation. Elle resulte à la fois de la reponse myogene et de l'accumulation de déchets métaboliques survenue pendant l'occlusion.

Autorégulation à long terme

  Si les besoins d'un tissus sont tel que le mecanisme d'autoregulation à court terme ne suffit pas à les combler, un mecanisme à long terme peut s'établir en quelques semaines ou quelques mois de maniere à augmenter le debit sanguin local. Le nombre le nombre de vaiseaux s'accroit dans le tissus et els vaisseaux existants grossissent. Ce phénomene se produit notamment dans le cœur en cas d'occlusion partielle, d'un vaisseau coronaire : il survient également dans l'ensemble de l'organisme des gens qui vivent en altitude, où l'air contient moins d'oxygene qu'au niveau de la mer.